« Education et Mondialisation : les conséquences de la libéralisation de l'éducation prônée par l'Accord Général sur le Commerce des Services (AGCS) ; illustration sur la base de la position canadienne et belge » par Ahmed Seghaier, 2004.
Le nouveau gouvernement conservateur anglais met désormais publiquement en parallèle la réussite des écoles aux examens et les coûts par élèves qu’elles exigent. Ce nouveau dispositif instaure un régime de concurrence entre les établissements et incite les contribuables à en évaluer le rendement en terme de retour sur investissement de leurs impôts.
BBC (2011). « School league tables: Most miss Baccalaureate target ».
« Nous donnons du pouvoir aux parents et au public en leur disant "comparez !", explique le ministre d el'éducation, M Gove. "Si vous découvrez que l'école au coin de la rue fait deux fois mieux en dépensant deux fois moins vous demanderez "pourquoi ? ».
Point 2 : Application de la résolution 60/251 de l'Assemblée générale du 15 mars 2006,
intitulée « Conseil des droits de l'homme ». Déclaration écrite du CETIM (Centre Europe Tiers Monde)
Cote ONU: A/HRC/4/NGO/18
« Alors qu’aux Etats-Unis certains dirigeants — dont une ancienne vice-ministre américaine de l’éducation — critiquent la mise en compétition des établissements et l’évaluation des élèves, cette logique inspire les réformes françaises. Le gouvernement tente d’affaiblir le statut des enseignants, un corps traditionnellement revendicatif, en individualisant les carrières.
[…]
Une série d’analyses sur les différentes dimensions de l’École en tant que lieu où s’exprime plus en plus sans complexe la valeur marchande de l’éducation et de la formation. Du coup, l’École publique, en tant que creuset du bien commun, se trouve mise à mal. http://www.skolo.org/spip.php?rubrique23
Chili. « A la mi-juin [2011], les étudiants occupaient 300 lycées et collèges, rassemblaient plus de cent mille personnes sur l'Alameda, la principale avenue du centre de Santiago, mais aussi des centaines de milliers d'autres jeunes à travers le pays, et demandaient une réforme constitutionnelle pour que « l'éducation soit considérée comme un droit » et non plus comme une marchandise ni un moyen pour un petit nombre d'hommes d'affaires de faire du business. »
« Education et Mondialisation : les conséquences de la libéralisation de l'éducation prônée par l'Accord Général sur le Commerce des Services (AGCS) ; illustration sur la base de la position canadienne et belge » par Ahmed Seghaier, 2004.
La énième crise financière du capitalisme ne va sûrement pas arranger les choses en éducation.
Le nouveau gouvernement conservateur anglais met désormais publiquement en parallèle la réussite des écoles aux examens et les coûts par élèves qu’elles exigent. Ce nouveau dispositif instaure un régime de concurrence entre les établissements et incite les contribuables à en évaluer le rendement en terme de retour sur investissement de leurs impôts.
La privatisation selon l’UNESCO
« Nous donnons du pouvoir aux parents et au public en leur disant "comparez !", explique le ministre d el'éducation, M Gove. "Si vous découvrez que l'école au coin de la rue fait deux fois mieux en dépensant deux fois moins vous demanderez "pourquoi ? ».
Conseil des droits de l'homme - 4ème session 2007
Commercialisation et rentabilité de l’éducation : un résumé des Lettres de l‘EIP consacrées au sujet et disponibles dans leur intégralité à l’adresse : 
« Alors qu’aux Etats-Unis certains dirigeants — dont une ancienne vice-ministre américaine de l’éducation — critiquent la mise en compétition des établissements et l’évaluation des élèves, cette logique inspire les réformes françaises. Le gouvernement tente d’affaiblir le statut des enseignants, un corps traditionnellement revendicatif, en individualisant les carrières.
Une série d’analyses sur les différentes dimensions de l’École en tant que lieu où s’exprime plus en plus sans complexe la valeur marchande de l’éducation et de la formation. Du coup, l’École publique, en tant que creuset du bien commun, se trouve mise à mal. 
Chili. « A la mi-juin [2011], les étudiants occupaient 300 lycées et collèges, rassemblaient plus de cent mille personnes sur l'Alameda, la principale avenue du centre de Santiago, mais aussi des centaines de milliers d'autres jeunes à travers le pays, et demandaient une réforme constitutionnelle pour que « l'éducation soit considérée comme un droit » et non plus comme une marchandise ni un moyen pour un petit nombre d'hommes d'affaires de faire du business. »
La réalisation de cette Veille documentaire a été rendue possible grace au soutien de la Loterie Romande