Les plus récentes données publiées par l’UNICEF montrent que 16 000 enfants sont enrôlés dans les rangs des factions armées. Les garçons sont messagers, serviteurs ou combattants sur la ligne de front. Les filles, le plus souvent, sont des esclaves sexuelles ou des épouses forcées pour les caïds des factions armées. À ce bilan vertigineux il faut ajouter 900 000 enfants déplacés, 11 000 séparés de leurs parents, un million de malnutris et près de 1 500 tués.
Human Rights Watch (HRW), 2011. « Schools and Armed Conflict A Global Survey of Domestic Laws and State Practice Protecting Schools from Attack and Military Use ». En anglais. (Traduction libre : enquête sur les lois internes et les pratiques étatiques en matière de protection des bâtiments scolaires contre les attaques et leur occupation par l’armée.)
À l'occasion des célébrations du centenaire de la Première Guerre mondiale, plusieurs organisations* ont initié le projet « frieden l paix » dont l'objectif est d'amener citoyens et citoyennes de tous horizons à se réapproprier la notion de paix et à partager de manière créative leur propre interprétation. Pour promouvoir cette notion les citoyens du monde entier sont invités à réaliser ensemble une exposition universelle autour de la paix.
Un rapport de l'OING Human Rights Watch traite de la vulnérabilité des établissements d’enseignement lors de conflits armés et des moyens que les États peuvent avoir à leur disposition pour les mettre à l’abri de cette violence.
Un service du Bureau de la Coordination des Affaires Humanitaires des Nations Unies (IRIN) publiait en juin 2014 un article dénonçant les impacts de l’occupation militaire sur l’éducation.
Dans son rapport de 2014, la Coalition mondiale pour la protection de l’éducation contre les attaques (Global Coalition to Protect Education from Attack, GCPEA), qui rassemble des organisations non gouvernementales (ONG) et des agences des Nations Unies, a dressé une liste de 24 pays où des groupes armés utilisaient des écoles.
Dans un rapport publié en 2011, Human Rights Watch (HRW) dénonce l'utilisation des écoles à des fins belliqueuses : « Les gouvernements doivent faire des progrès en matière de protection des élèves et des enseignants en temps de guerre, en interdisant explicitement les attaques d'écoles et en restreignant l'utilisation à des fins militaires des lieux d'enseignement
Intro du spectacle "On n'aime guère que la paix" sur "Les enfants de la guerre" de Charles Aznavour.
Paroles de la chanson "Les enfants de la guerre"
Les enfants de la guerre
Ne sont pas des enfants
Ils ont l´âge de pierre
du fer et du sang
Sur les larmes de mères
Ils ont ouvert les yeux
Par des jours sans mystère
Et sur un monde en feu
Les plus récentes données publiées par l’UNICEF montrent que 16 000 enfants sont enrôlés dans les rangs des factions armées. Les garçons sont messagers, serviteurs ou combattants sur la ligne de front. Les filles, le plus souvent, sont des esclaves sexuelles ou des épouses forcées pour les caïds des factions armées. À ce bilan vertigineux il faut ajouter 900 000 enfants déplacés, 11 000 séparés de leurs parents, un million de malnutris et près de 1 500 tués.
Human Rights Watch (HRW), 2011. « Schools and Armed Conflict A Global Survey of Domestic Laws and State Practice Protecting Schools from Attack and Military Use ». En anglais. (Traduction libre : enquête sur les lois internes et les pratiques étatiques en matière de protection des bâtiments scolaires contre les attaques et leur occupation par l’armée.)
Tréma (2008). «Guerres et conflits dans les manuels et dans l’enseignement : interprétations, représentations ». Sous la direction de Brigitte Morand.
« Le droit à l'éducation et l'enfant réfugié en Afrique centrale : cas du Gabon » Thèse de doctorat en Sciences de gestion par Paul Mpayimana, 2011
À l'occasion des célébrations du centenaire de la Première Guerre mondiale, plusieurs organisations* ont initié le projet « frieden l paix » dont l'objectif est d'amener citoyens et citoyennes de tous horizons à se réapproprier la notion de paix et à partager de manière créative leur propre interprétation. Pour promouvoir cette notion les citoyens du monde entier sont invités à réaliser ensemble une exposition universelle autour de la paix.
Un rapport de l'OING Human Rights Watch traite de la vulnérabilité des établissements d’enseignement lors de conflits armés et des moyens que les États peuvent avoir à leur disposition pour les mettre à l’abri de cette violence.
Dans son rapport de 2014, la Coalition mondiale pour la protection de l’éducation contre les attaques (Global Coalition to Protect Education from Attack, GCPEA), qui rassemble des organisations non gouvernementales (ONG) et des agences des Nations Unies, a dressé une liste de 24 pays où des groupes armés utilisaient des écoles.
Dans un rapport publié en 2011, 
Intro du spectacle "On n'aime guère que la paix" sur "Les enfants de la guerre" de Charles Aznavour.
La réalisation de cette Veille documentaire a été rendue possible grace au soutien de la Loterie Romande